Tarana Burke
Biographie
- Fondatrice du mouvement "me too"
- Nommée "Personne de l'année 2017" et parmi les "100 personnes les plus influentes" en 2018 par le TIME.
- Activiste pour la justice sociale
Connue pour avoir fondé le mouvement “me too”, Tarana Burke a consacré sa vie à des travaux de justice sociale et à donner de la force à ceux qui ont subi des traumatismes sexuels ou du harcèlement. Honorée comme l’une des The Silence Breakers, elle fut nommée “Personne de l’année” en 2017 par le TIME, puis elle a été choisie parmi les “100 personnes les plus influentes de 2018”, également par le TIME.
Des années avant que “me too” ne devienne un hashtag viral, Tarana Burke a fondé Just Be Inc, un organisme à but non lucratif qui aide les victimes de harcèlement et d’agressions sexuelles.
La campagne simple mais courageuse du “me too” a généré plus de 13 millions de publications sur Facebook et de Tweets, émergeant comme un cri de ralliement pour les personnes du monde entier qui ont survécu à une agression ou un harcèlement sexuel. L’histoire puissante et poignante de Tarana Burke, créatrice de ce qui est maintenant un mouvement international de soutien aux survivants, va vous émouvoir, vous élever et vous inspirer.
Tarana a consacré plus de 25 ans de sa vie à la justice sociale et a jeté les bases d’un mouvement qui a été créé à l’origine pour aider les jeunes femmes de couleur ayant survécu à des abus et des agressions sexuels. Ce mouvement inspire désormais la solidarité, amplifie les voix de milliers de victimes d’abus sexuels et remet l’accent sur les survivants.
Ayant elle-même survécu à une agression sexuelle, Tarana Burke est aujourd’hui directrice exécutive de l’organisation “me too”. Sur scène, elle donne un aperçu de la situation actuelle et de l’avalanche d’allégations d’agressions et de harcèlement sexuels, aborde les questions urgentes du respect, de la dignité et de la dynamique du pouvoir dans les écoles, les lieux de travail et la politique, et met en lumière les histoires des survivants et les voix qui continuent d’être marginalisées.